Aujourd’hui, la flamme Olympique est passée dans les rues de Dorval.
En plein travail au bureau cet après-midi la, j’entends une animation anormale venant de l’extérieur. Curieux, je demande ce qui se passe, et bon, c’est le relais de la flamme qui passe en avant de la porte.
En «bon» photographe, je traîne toujours mon appareil photo avec moi. Je me précipite dans mon auto, sort fièrement ma caméra, et voila, le tour est joué. Une première photo dans la boite, une deuxième… heu non… une deuxième… ben non… je m’haïs, la batterie est évidemment déchargée !
Le cortège arrive tranquillement, la gigantesque guirlande de noël toute illuminée bloque les rues – pfffiou!!, jamais vue autant de voitures de police en même temps moi – ça doit coûter un max aux contribuables! Les pompiers n’étaient pas la …étrange, ils ont laissé un incendie se promener sous la surveillance de nos vaillants gardiens de la paix?- un échange de service?
Et moi, j’ai plus de batterie. Les camions de régie s’approchent, suivis du porteur du flambeau. Je fouille dans mes poches, et Oh miracle – héhé, Noël approche – j’en retire un vieux PowerShot qui va me permettre d’immortaliser, pour ma satisfaction personnelle, cette flamme qui va traverser le pays.
Alors bien sur l’appareil prend une éternité à s’allumer, je ne cadre rien, aucun contrôle sur le focus, tant pis, on pose pour la postérité.
Et je partage avec vous cette maigre récolte.
Pascal – le 10 décembre 09.